EN BREF ...
« Si la pandémie a accéléré la digitalisation de nom- breux pans de notre économie, les acteurs du numérique n’ont pas attendu 2020 pour investir pleinement le secteur de la santé. Voilà déjà plusieurs décennies que les structures de santé s’informatisent. Et ce mouvement, d’abord imposé par les besoins de la gestion administra- tive, a progressivement touché toutes les fonction- nalités. C’est vrai en ville, dans les cabinets médi- caux et paramédicaux, les laboratoires d’analyse, les structures d’imagerie. Mais aussi dans tous les éta- blissements sanitaires, médico-sociaux et sociaux. L’industrie pharmaceutique, les dispositifs médicaux et in vitro, les « thérapeutiques digitales » sont éga- lement investis dans le développement et l’usage de solutions numériques. Toutefois, de nouveaux besoins ont plus récemment émergé : meilleure coordination pluriprofessionnelle, coopération entre médecine de ville et hôpital, ren- forcement du suivi des « parcours ». Or, pour bien répondre à ces besoins, une série de clarifications est nécessaire : sur les règles d’interfaçage (interopéra- bilité, référentiels sémantiques, etc.), les modalités de certification pour évaluer la qualité des solutions, ou encore les conditions de sécurité des données de santé sensibles (hébergement, authentification des acteurs patients et professionnels, etc.). » En bref issu du guide.
Rédacteur(s) de la fiche : Beesens Teams
MISE À JOUR
02/02/2021
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