"Le port du masque pour prévenir l’ infection COVID-19 est encore discuté par certains, alors que la transmission aérienne du virus est parfaitement établie ( gouttelettes et/ ou aérosol ) .
Il est en effet très difficile de faire la preuve de l’ efficacité de ces masques chez les patients et chez l’homme ; les données les plus convaincantes actuellement concernent des modèles animaux : cages de hamsters protégés si elles sont entourées par des masques .
Une étude brésilienne bien que préliminaire permettra peu être de convaincre les derniers sceptiques.
Chez 45 malades COVID-19 une recherche de virus par PCR a été réalisée, dans le même temps sur un prélèvement naso-pharyngé et sur plusieurs fragments des masques qu’ils portaient ( face interne du côté facial et externe) .
Résultats :
1/ tous les prélèvements réalisés à la face externe des masques ont été négatifs démontrant leur efficacité pour filtrer les virus.
2/ les prélèvements internes tournés vers le visage ont été positifs avec cependant un taux de reproduction : Ct supérieur à celui des prélèvements naso-pharyngés : 38 versus 28 indiquant une charge virale beaucoup plus faible.
3/ ces résultats sont identiques qu’ ils s’ agissent de masques chirurgicaux ou de masqujues faits à la main.
4/ la charge virale trouvée est plus faible chez les patients asymptomatiques : Ct 40 versus 36..."
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Coronavirus : les masques
LINKEDIN, 07/07/2021
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