"Entre un risque accru de décès en cas d’infection par le SARS-CoV-2 et celui d’un potentiel retard au diagnostic ou à la prise en charge lié aux mesures de précaution et de distanciation, la prise en charge des maladies chroniques hépatiques doit encore s’ajuster face à l’épidémie de COVID-19...." Lire la suite