"Nous comprenons maintenant l’impact de cette pandémie : nous perdrons trop tôt nos parents et grands-parents. En Chine, en France, en Italie, les sujets âgés sont les plus touchés. Le premier SRAS avait conduit l’OMS à déclarer en 2003 que sa prochaine apparition induirait « une crise de santé publique mondiale ». Or face à l’un de ses cousins, plus létal et plus vif, nous n’avons pas assez progressé pour..." Lire la suite